Alors que Delphine BATHO, ministre de l’écologie, a annoncé le 26 février dernier à l’assemblée nationale un doublement des Certificats d’Economies d’Energie (CEE)* pour la période 2014-2016, les syndics de copropriétés vont devoir de plus en plus intégrer cette source de financement dans leurs devis de travaux. Cette activité va-t-elle générer une charge de travail supplémentaire pour le syndic ? Lors d’une session de questions - réponses à l’assemblée nationale le 26 février dernier, Delphine BATHO, ministre de l’écologie, a annoncé « pour la troisième période [2014-2016], un doublement des obligations et donc du niveau des certificats d’économies d’énergie ». Les travaux de rénovation dans les copropriétés (isolation, chaudières, robinets thermostatiques, fenêtres…) vont donc continuer à bénéficier de cette prime non négligeable puisse qu’elle peut représenter entre 5 et 40% du montant des travaux.
Quelle négociation avoir pour les certificats d'économie d'énergie (appelés aussi primes énergie, éco-primes, primes éco-énergie...) ?
Nous avons un nombre croissant de demandes portant sur la négociation des Certificats d'Economie d'Energie (CEE) et sur leur prix moyen de revente.
Certaines personnes comparent le cours de cotation des Certificats d'Economie d'Energie sur la base Emmy (www.emmy.fr) avec la prime qu'elle reçoive d'un fournisseur d'énergie.
Nous avons mené une étude auprès de directeurs immobiliers sur le thème des Certificats d’Economies d’Energie (CEE).
L'installation d'un variateur de vitesse (VEV) est fortement financée par les éco primes ou primes énergie (autre noms souvent utilisés dans le cadre du dispositif des certificats d'économie d'énergie)
Afin de s'en rendre compte, nous avons mené une étude sur différents modèles et pour différentes applications. Le résultat est surprenant.
L'arrêté du 31 octobre 2012 concernant les Certificats d'Economies d'Energie (CEE) a apporté quelques modifications sur le périmètre des opérations standards et des précisions sur des fiches existantes.
L’isolation des toitures terrasses est l’une des premières actions à envisager lors de la rénovation énergétique d’un bâtiment résidentiel ou tertiaire. C’est en effet par la toiture que les déperditions énergétiques d’un bâtiment sont les plus importantes.
L’isolation des toitures terrasses peut être en partie financée par les Certificats d’Economies d’Energie (CEE). Le montant du financement dépend de la valeur de la résistance thermique (Rth) de l’isolant posé.
Exemple : bâtiment résidentiel dans le nord de la France et chauffé au fioul
Un m² d’isolant avec une Rth comprise entre 3 et 3,5 m².K/W génère 880 kWh cumac contre 1 800 kWk cumac si la Rth est supérieure à 3,5 m².K/W.
Nous nous permettons dans ce post de présenter un extrait de l'excellent livre de JEREMY RIFKIN "La troisième révolution industrielle". Ce livre est absolument à lire par tous ceux qui s'intéressent au futur de notre modèle énergétique. Le passage sélectionné traite du rendement sur investissement qu'aurait la rénovation énergétique du parc résidentiel et des immeubles de bureaux aux Etats-Unis.
Remplacement de l’éclairage public dans les collectivités : l’enjeu des travaux d’économies d’énergie et le financement par les CEE
L’éclairage public dans une petite collectivité représente environ 50% de sa consommation électrique(1) et est source de pollution lumineuse. La modernisation du parc de luminaires des collectivités est un donc un enjeu important pour diminuer la facture énergétique. Plus de la moitié de l’éclairage public est composé de lampes énergivores et de matériels obsolètes. En effet 40% des luminaires installés ont plus de 25 ans et plus d’un tiers du parc est équipé de lampes à vapeur de mercure(2), technologie des plus consommatrice.
Les travaux de rénovation sur les bâtiments tertiaires (écoles, bureaux, commerces, hôpitaux) sont devenus des impératifs pour diminuer la facture énergétique de ces établissements. Le coût de tels travaux peut cependant être dissuasif pour les maîtres d'ouvrage. Il existe cependant des dispositifs financiers permettant d'alléger la facture. Nous passons en revue les principaux et décrivons leur mode d'application. Nous donnons quelques exemples de financement à travers les Certificats d'Economies d'Energie.
Les travaux de rénovation énergétique des copropriétés est un enjeu important pour diminuer la facture énergétique des propriétaires et locataires. Le coût de ces travaux est bien souvent élevé et représente une dépense importante dans les budgets annuels des ménages. Il existe cependant des dispositifs pour diminuer cette charge, notamment les Certificats d'Economies d'Energie (CEE). Nous en présentons ici le modèle ainsi que quelques exemples.